Pour ceux qui n'auraient pas de zoom : Critical demande qui a censuré l'une de ses files, puis enchaine :
"Mon cher ichauvea, je me bats depuis
04/02/2010 à 00:35
des mois pour contrer ce genre de chose.
J'en suis à ma deuxième plainte auprès de l'AMF. Plaintes directes auprès de son Secrétaire Général.
La première a déclenché une enquête qui a abouti en 3 semaines. Record absolu largement explosé!
Il faut dire que mes informateurs avaient largement mâché le boulot de ses enquêteurs.
La deuxième a tellement été prise au sérieux que le jour même de la réception de cette plainte (envoyée par la poste au nom de notre association), le lancement de l'enquête a largement fuité.
Ce monde de requins malhonnêtes qui profitent des lacunes législatives en matière boursière se donne à fond pour gruger les petits porteurs.
Il est temps d'y mettre le holà. Cela fait partie de notre mission. "
Critical lutterait contre la censure?
Hi hi hi! Ha ha! HA HA HA ,
HA HA HA HA HA
Salut Deuxtroy,
RépondreSupprimerInterview et Photo de JFGoulon sur Boursier.com
mais il faut être abonné pour pouvoir le lire...
Bonjour Tonioff. Merci pour l'info. L'interview dont tu parles est en libre-accès : il ne manquerait plus que ça, devoir payer pour lire le tissu d'hypocrisie du Sieur Goulon.
RépondreSupprimerQui, s'il a retenu quelques règles de prudence (il ne parle plus que de la "responsabilité éventuelle' des uns et des autres), oublie tout de même que sans la retape du Gaapp et son obstination à faire taire tous ceux qui émettaient des alertes, nombreux sont ceux qui n'auraient pas plongé, ou vendu avant!
Car rappelons que le Gaapp avait déjà noté, fin 2009, une incohérence dans les comptes publiés. Que Goulon savait parfaitement dès le 20 mars 2010 que la société avait des problèmes de Trésorerie, des banques ayant refusé de renouveller leurs concours. Et que c'est peut-être la première fois qu'il reconnait publiquement que l'exercice 2008 était en perte, après avoir si longtemps censuré et démenti l'information.
Sinon, je ne peux que mettre une nouvelle fois en garde les PP qui seraient tentés de rejoindre cette procédure, alors qu'ils auraient souscrit à celle initiée par Ten-France : ils risquent en effet de perdre le bénéfice des transactions éventuelles avec les CAC . Car on ne peut à la fois attaquer quelqu'un en justice, et lui demander de transiger, une fois l'action perdue.
Et la position du Gaapp et de cabinet Brosseau semble claire : ils n'attaqueront pas les dirigeants au civil. Alors que dans l'ordre des responsabilités, on a bien en premier lieu les dirigeants, en second lieu lieu le Gapp, et ensuite, tous les autres...